Il était de ceux qui ne parlent pas,
Qui observent avant de faire quoique ce soit.
Il faisait parti de ces personnes qui gardent leur propre souffrance
Pour éviter que les autres n’entrent en transe.
C’était fascinant cette sensation qu’il avait,
De rester fort même quand tout s’effondrait.
J’enviais son charisme et sa façon d’être ;
J’aurai aimé connaître les pensées qu’il avait en tête.
Quand je repense à tout ce qu’il m’a appris,
Je souris.
Mais les souvenirs reviennent,
Telles des pensées malsaines.
Comme des poignards
Qui me donnent chaque jour le même espoir.
Celui d’arriver à faire avec.
Comme si le désert le plus sec
Pouvait un jour être inondé :
C’est impossible, chuchote le Diable à mes côtés.
Mais il était de ceux qui acceptait
Tout ce qui lui arrivait.
La vie, comme la mort, en faisait parti.
J’aimerais prendre exemple sur lui,
Pour que même dans mon caractère il y ait une parti de son courage,
Ça m’aiderait à tourner la page.
Je ne l’oublierai jamais ;
Il était de ceux qui laissent leur empreinte,
Mais ça, déjà, on le savait.
Au plaisir d’écrire, MOTSDITS.